Páginas especiales - Wiki - Artistes et Figures flamenco
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Adela Silva Campallo.

Adela Silva Campallo, née à Séville en 1977, concrètement dans le quartier flamenco par excellence: El Cerro del Aguila. A ses débuts elle apprend à l'académie de Manolo Marin et passe ensuite entre les mains de José Galván, avec qui elle terminera sa formation de danseuse.
Pourtant c'est ultérieurement qu'elle perfectionnera son art auprès de figures de la taille de Eva la Hierbabuena, Antonio Canales, Javier Barón, son frère Rafael Campallo, Adrián Galia et Manolete. Elle a participé à de nombreux spectacles jusqu'à son entrée dans la Compagnie Andalouse de Danse. Elle passe ensuite par la compagnie de Manuela Carrasco. Actuellement elle travaille avec Andrés Marín et a déjà accumulé beaucoup d'expérience dans les divers tablaos de Séville, Barcelone et Tokyo.

Adrian Galia

Adrian Galia. Adrian Jorge Caviglia Marcioni, plus connu comme "Adrian Galia", né à Buenos Aires en 1965. Depuis 1978 il vit en Espagne, il va à l'académie de danse "Amor de Dios", très connue, www.amordedios.com, vivier de grands danseurs; il est formé par les maîtres Ciro, Manolete, Isidro "El Mono" y "La China". Adolescent il entre au "Ballet Español de Madrid", auprès de Luisa Aranda, Merche Esmeralda, José Antonio et Eduardo Serrano El Güito. En 1988 c'est le premier danseur du disparu "Teatro de Danza Española" et du "Ballet del Teatro Español de Rafael Aguilar". Il a travaillé aux côtés de Maya Plisetskaya, Julio Bocca, il créé sa propre "Compañía de Flamenco Adrián Galia". Il formera des duos à Paris avec Joaquin Cortes. En 1992 il reçoit le premier prix du "Certament Internacional de Coreografía de Danza Española y Flamenco de Madrid". En 1993 il entre dans la "Compañía de Cristina Hoyos", en 1996 il travaille à nouveau en solitaire au "Teatro de la Abadía", présentant le spectacle "En Clave Flamenca". 1997 est l'année durant laquelle il commence son projet de création d'une encyclopédie audiovisuelle qui se développe présentant les principaux styles de danse "Paso a Paso los Palos Flamencos", une méthode didactique accessible à tous qui combine la technique avec le mouvement des mains, bras, corps. En 1999 il débute au "Teatro de Madrid" avec son spectacle "Pensando Flamenco". En 2001 il débarque au Japon au "Tablao el Flamenco" d'Osaka. Cette même année il fonde "Jaspain", premier centre chorégraphique de flamenco à Tokyo, Japon. En 2004, il est appelé par la Fondation Antonio Gadés pour prendre en charge le rôle de "Don José" dans l'oeuvre de "Carmen" pour la "Compañía Antonio Gadés".

 

Ana Parrilla

Ana Fernández Molina, plus connue comme "Ana Parrilla", née à Jerez de la Frontera (Cadiz). Son grand-père était Juan FErnandez Carrasco, connu comme "Juanichi El Manijero", créateur de la fameuse Siguiriya "El Cuco". Son père était Manuel Fernandez Moreno, connu comme "Tio Parrilla de Jerez", et sa mère Bernarda Molina Vega née à Algeciras, ses frères Juan Parrilla guitariste, Manuel Fernandez Molina "Parrilla" et sa soeur Manuela. Ses oncles étaient Gregorio Fernández "Parrilla", Juan Fernández "Tío Juanichi Parrilla", Manuel Fernández "El Sernita de Jerez" et Juana Fernández "Tía Juana la de El Pipa".
Décédée le 11 juillet à Jerez de la Frontera (Cadiz), victime d'une longue maladie.

Dès son plus jeune âge elle se fait remarquer lors de festivals et dans divers tablaos de Malaga, Madrid et Cadiz. En 1970 elle accompagne son frère, "La Trini de España", José Menese, Antonio Núñez "Chocolate" dans le "Tablao Flamenco de Cadiz".
En septembre 1971 elle part pour Mexico DF avec Enrique Morente et son frère Parrilla de Jerez, avec un contrat de trois mois et demi.
Elle revient en Espagne le 20 décembre.
De mars à juillet 1972 elle fait un duo avec son frère Manuel, à Marbella, dans la salle-tablao "Fiesta", après cela ils passent par le tablao de Lola Flores à Puerto Banús pour poursuivre en septembre à "Caripén", Madrid, jusqu'à la fin octobre. Le 1er novembre elle signe un contrat avec son frère valable jusqu'au 17 février pour se produire en Afrique du Sud et Rhodésie.
En février 1974 elle repart en tournée avec son frère et le ballet de "Luisillo" en Italie, Venise, Gênes et autres grandes villes. Elle revient en Espagne fin mars 1974.
En septembre 1978 elle se produit avec ses deux frères et son neveu Manuel Parrila au "Congreso de actividades de flamenco", qui se célèbre dans la ville de Zamora et qui cette année-là était dédié à Manuel Torre et au Tio Parrilla, son père.
Elle sera aussi dans "La VEnta del Gato" en 1979, à Madrid. En 1984 aux côtés de son frère, Curro Malena et Chano Lobato, elle se produit dans les villes: Kortrij et Muscrón (Belgique) et un mois plus tard (Juillet) dans la capital (Bruxelles).
En 1992, dans le spectacle Ana Parrilla "de Jerez a Cái" ils offrent des shows annexes à l'EXPO 92 et ensuite au pavillon d'Andalousie de dite EXPO 92 durant six mois, jusqu'à sa fermeture en octobre, ils reçurent un prix pour être le meilleur flamenco qui passa par le pavillon durant les six mois que durèrent EXPO 92.
Elle a parcourut toute l'Europe, l'Asie, l'Afrique et l'Amérique.
En 1984 elle reçoit La Copa de Jerez de la "Catedra de Flamencologia y Estudios Folkloricos Andaluces".
Parmi ses représentations plus remarquables on met en avant sa participation à la "III Cumbre Flamenca de Madrid", en 1986, au "Teatro Alcalá Palace" aujourd'hui "Nuevo Teatro Alcalá", accompagnée à la guitare de ses frères et le chant d'Antonio de Malena.

Angelita Vargas Vega

Angelita Vargas Vega, plus connue comme "Angelita Vargas", née à Séville en 1946. Angelita Sevilla a concentré sa carrière artistique quasi exclusivement à Séville. Elle a débuté à 13 ans à l'Hôtel Murillo et plus tards aux "Gallos".
Elle a aussi appris à chanter. En fait, au début de sa carrière, elle a enregistré un vinyle de chants festifs sous le nom artistique d'"Angelilla la Gitanilla". Elle a reçu ce surnom de Matilde Cora. A Madrid, elle travaille pour "Las Brujas" avec le spectacle "Flamenco Puro y Duro".
Innombrables sont ses voyages parmi les tablaos, festivals et bienales flamencos: Grande-Bretagne, Etats-Unis, Japon, Hollande et Allemagne. Elle a reçu divers prix, le Pastora Imperio en 1980, le "Premio Nacional al baile" la "Cátedra de Flamencología de Jerez de la Frontera", en 1986. Elle a participé à la "I Giraldilla del Baile" (Séville) en 1982, le "Premio Matilde Coral", en 1984 (Mairena de el Alcor). Depuis un temps elle se dédie à l'enseignement. Elle est mariée avec "El Biencasao" et a un fils, José.

El Güito

Encarnación López Júlvez, "La Argentinita". Née à Buenos Aires en 1898 et décédée à New York le 24 septembre 1945 durant une intervention chirurgicale. Fille d'artistes, son père était guitariste et sa mère d'Aragon.
Comme d'autres danseuses, elle chantait aussi, et ses enregistrements sont des thèmes populaires que le flamenco reprend constamment.
Son premier grand amour fut le torero "Joselito" José  Gómez Ortega, appelé Gallito (8 mai 1895 - 16 mai 1920 en plein travail).
Son second grand amour fut le torero Ignacio Sánchez Mejías (Séville 1891-Madrid 1934), torero intellectuel, en relation avec les écrivains de la Génération du 27. Il convertit la grande danseuse et "tonadillera" en muse.
Elle a fréquenté l'amitié et la compagnie des plus grands poètes de son temps, comme Federico Garcia Lorca (Granada 1898 - 1936 entre Viznar et Alfacar) et Rafael Alberti (Cadix 1902-Cadix 1999).
Elle dansa pour la dernière fois devant Indalecio Prieto Oviedo (1883-1962, Mexico).
Fille d'espagnols et soeur de Pilar Lopez. Sa famille revint en Espagne quand elle avait six ans, s'installant à Madrid. Elle prit des cours de danse avec Manuel Fontesilla, et passa ensuite à apprendre avec Julia Castelao. A huit ans l'homme d'affaires PArdiñas lui donne le nom artistique de "La Argentinita".
A douze ans elle dansait dans les salons d'Atocha et dans celui de Romea, les années suivantes elle donna des représentations au Théâtre La Latina, Principe Alfonso, Théâtre de la Comédire, La Princesa, L'Apolo, etc.
En 1920 elle dans à Buenos Aires, en 1922 elle revient à Madrod, et durant deux ans elle donne des représentations dans diverses salles et se retire ensuite jusqu'en 1929, pour réapparaître dans les théâtres Alhambra de Paris et Scala de Berlin.
Elle se joint au groupe d'artistes et écrivains de la Génération du 27, les poètes l'aidaient pour des thèmes et idées. En 1932 elle présente les estampes folkloriques "Las Calles de Cadiz", sévillanes du XVIIIème siècle.
Elle atteint le summum de la créativité avec sa version d'"El Amor Brujo".
En 1933 elle présente son nouveau spectacle au théâtre Fallade de Cadiz et ensuite à l'Español de Madrid, pour poursuivre au traves de nombreuses capitales espagnoles. En 1934 elle débute au Théâtre des Champs-Elysées de Paris où la critique la reconnaît comme une des grandes figures de la danse internationale.
Au théâtre Poliorama de Barcelone elle donne deux unique représentations en 1934 et revient à Paris en 1935. Elle entreprend alors un voyage en Amérique.
De 1941 à 1942, elle change de partenaire deux fois, d'abord elle remplace Antonio de Triana par Federico Rey et l'année suivante elle remplace celui-ci par l'italo-américain José Greco, engageant aussi le mexicain Manolo Vargas.
1943 est une année clé, le plus grand homme d'affaire américain des Etats-Unis, l'ukrainien-américain, Sol Hurok la présente au Metropolitan House de New York.
Pour nous faire une idée de ce qu'était cette époqie, Sol Hurok était le représentant de Vladimir Ashkenazy, Isadora Duncan, Anna Pavlova, Mstislav Rostropovich, Arthur Rubinstein, et bien plus encore, et il remarqua "La Argentinita".
Manuel Machado dit d'elle qu'elle était comme une plume dans l'air... normal que la vie lesta son coeur avec le poids du grand amour. Elle fut enterrée à Madrid.
Eduardo Serrano Iglesias plus connu comme "El Güito", né à Madrid en 1942. A 14 ans il débute professionnellement pour le Ballet de Pilar Lopez (soeur de La Argentinita), il fait son début au "Theater Palace" de Londres, ses collègues du moment étaient Antonio Gades, Mario Maya, Curro Vélez et Alberto Portillo. Au début sa danse flamenco était othodoxe, mais dans les années 70 il s'éloigne du classique.
A cette époque il forme le "Trío Madrid" avec Mario Maya et Carmen Mora, et obtient un grand succès jusqu'aux années 1975, peu après il se produira avec le "Ballet Nacional" d'Espagne.
Innombrables actes, représentations et débuts. Il fit plusieurs fois le tour du monde grâce à son art, aux côtés de grands noms de la scène mondiale.

La Argentinita

Encarnación López Júlvez, "La Argentinita". Née à Buenos Aires en 1898 et décédée à New York le 24 septembre 1945 durant une intervention chirurgicale. Fille d'artistes, son père était guitariste et sa mère d'Aragon.
Comme d'autres danseuses, elle chantait aussi, et ses enregistrements sont des thèmes populaires que le flamenco reprend constamment.
Son premier grand amour fut le torero "Joselito" José  Gómez Ortega, appelé Gallito (8 mai 1895 - 16 mai 1920 en plein travail).
Son second grand amour fut le torero Ignacio Sánchez Mejías (Séville 1891-Madrid 1934), torero intellectuel, en relation avec les écrivains de la Génération du 27. Il convertit la grande danseuse et "tonadillera" en muse.
Elle a fréquenté l'amitié et la compagnie des plus grands poètes de son temps, comme Federico Garcia Lorca (Granada 1898 - 1936 entre Viznar et Alfacar) et Rafael Alberti (Cadix 1902-Cadix 1999).
Elle dansa pour la dernière fois devant Indalecio Prieto Oviedo (1883-1962, Mexico).
Fille d'espagnols et soeur de Pilar Lopez. Sa famille revint en Espagne quand elle avait six ans, s'installant à Madrid. Elle prit des cours de danse avec Manuel Fontesilla, et passa ensuite à apprendre avec Julia Castelao. A huit ans l'homme d'affaires PArdiñas lui donne le nom artistique de "La Argentinita".
A douze ans elle dansait dans les salons d'Atocha et dans celui de Romea, les années suivantes elle donna des représentations au Théâtre La Latina, Principe Alfonso, Théâtre de la Comédire, La Princesa, L'Apolo, etc.
En 1920 elle dans à Buenos Aires, en 1922 elle revient à Madrod, et durant deux ans elle donne des représentations dans diverses salles et se retire ensuite jusqu'en 1929, pour réapparaître dans les théâtres Alhambra de Paris et Scala de Berlin.
Elle se joint au groupe d'artistes et écrivains de la Génération du 27, les poètes l'aidaient pour des thèmes et idées. En 1932 elle présente les estampes folkloriques "Las Calles de Cadiz", sévillanes du XVIIIème siècle.
Elle atteint le summum de la créativité avec sa version d'"El Amor Brujo".
En 1933 elle présente son nouveau spectacle au théâtre Fallade de Cadiz et ensuite à l'Español de Madrid, pour poursuivre au traves de nombreuses capitales espagnoles. En 1934 elle débute au Théâtre des Champs-Elysées de Paris où la critique la reconnaît comme une des grandes figures de la danse internationale.
Au théâtre Poliorama de Barcelone elle donne deux unique représentations en 1934 et revient à Paris en 1935. Elle entreprend alors un voyage en Amérique.
De 1941 à 1942, elle change de partenaire deux fois, d'abord elle remplace Antonio de Triana par Federico Rey et l'année suivante elle remplace celui-ci par l'italo-américain José Greco, engageant aussi le mexicain Manolo Vargas.
1943 est une année clé, le plus grand homme d'affaire américain des Etats-Unis, l'ukrainien-américain, Sol Hurok la présente au Metropolitan House de New York.
Pour nous faire une idée de ce qu'était cette époqie, Sol Hurok était le représentant de Vladimir Ashkenazy, Isadora Duncan, Anna Pavlova, Mstislav Rostropovich, Arthur Rubinstein, et bien plus encore, et il remarqua "La Argentinita".
Manuel Machado dit d'elle qu'elle était comme une plume dans l'air... normal que la vie lesta son coeur avec le poids du grand amour. Elle fut enterrée à Madrid.

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